Dire le travail en temps de confinement/Quand le virus informatique traverse la pédagogie

Quand le virus informatique traverse la pédagogie – épisode 7

Mardi 21 avril 2020. Confinement J+41 Ces jours de congé m’ont fait beaucoup de bien. Flâner, procrastiner, prendre le temps de regarder autour de moi. Humer le lilas dans le jardin. Supputer la date d’éclosion des muguets, tellement plus précoces cette année. Réfléchir. Rêvasser. S’assoir dans un fauteuil avec un thé chaud, et lire. Flâner. Quel délice ! … Lire la suite

Journal d’une bedworkeuse

Journal d’une bedworkeuse – épisode 48

Mercredi 29 avril J’ai commis l’irréparable : dormi dans mon lit-bureau. Incapable de m’endormir hier soir, l’estomac retourné, j’ai migré vers minuit pour m’assoir dans mon espace de travail puis, progressivement, glisser sans m’en apercevoir vers le sommeil. J’étais donc déjà au bureau quand je me suis réveillée vers 5 h 30. Pris un petit-déjeuner léger avant 6 h. Transcrit … Lire la suite

Journal d’une bedworkeuse

Journal d’une bedworkeuse – épisode 47

Mardi 28 avril Nuit quasi normale : couchée après un film très psychologique avec Daniel Auteuil et Leïla Bekti, deux générations, deux sexes, deux acteurs intérieurs, magnifiques, je réussis à dormir jusqu’à 4 h et des brouettes. Encore une de ces nombreuses expressions françaises qui remplissent mon écriture : Pourquoi des brouettes ? Pourquoi pas des étagères ? Des draps ? … Lire la suite

Dire le travail en temps de confinement

Gérer les collaborateurs à distance

Guillaume est responsable ressources humaines dans une entreprise d’une cinquantaine de salariés qui installe et assure la maintenance de matériel médical dans les hôpitaux. Comme nos techniciens de maintenance interviennent en milieu hospitalier, nous avons été rapidement alertés sur les dangers qu’ils encouraient. Nous avons adapté nos procédures pour limiter les risques, et vérifié que … Lire la suite

Journal d’une bedworkeuse

Journal d’une bedworkeuse – épisode 45

Dimanche 26 avril 3 h 20. Pire qu’hier. Petit bémol : au bout de quelques heures, je parviens à me rendormir dans mon bed-desk quelques dizaines de minutes. Une aiguille dans une botte de foin. Deux ou trois brindilles arrachées à la meule monumentale que représente ma dette de sommeil, c’est déjà ça comme dit la chanson de Maxime Le Forestier ! … Lire la suite