Surtout, ne fermez pas la porte en sortant – Récits de violences managériales dans une école en travail social

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Des dizaines de salariés, formateurs ou administratifs, qui prennent la porte en quelques mois : comment est-ce possible ? Sept d’entre eux racontent, leur attachement à leur métier, puis cette tempête qui a ravagé leur collectif, et leurs efforts pour défendre leur travail. Ils écrivent, pour comprendre, partager, alerter.

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Description

Jusqu’en 2014, c’est un institut de formation en travail social comme d’autres, où les professionnels s’activent pour adapter les formations aux évolutions règlementaires, organisationnelles, dans le souci des étudiants. Puis, dans les mois qui suivent l’arrivée d’un nouveau directeur, on compte plus d’une quarantaine de départs subis, conflictuels, douloureux. « Pédagogie, équipe, travail social, projets » sont des termes effacés du dictionnaire de l’institut, pour laisser place à « démarche qualité, bonne gouvernance » du côté de la direction, « licenciements, burn-out, inaptitude, faute grave » du côté des salariés. Tout cela sous le regard impuissant des instances sociales, des tutelles, des partenaires de l’institut.

Sept salarié·es, formateurs ou administratifs, ont décidé d’écrire pour raconter leur vécu, remettre du sens et du discernement dans cette histoire institutionnelle traumatisante, dénoncer la maltraitance de leur travail et l’impunité de ceux qui en ont été responsables, affirmer les valeurs d’attention aux autres et de soins des relations qui devraient être au cœur du travail social.


Mélanie Bouthillier, Agnès Bouvier, Christine Carrère, Isabelle Escurat, Brigitte Laibe, Philippe Menaut, Sylvie Montabrut.
Postfaces de Philippe Gaberan et de Patrice Bride.

Informations complémentaires

Poids 400 g
Dimensions 21 × 14 × 1,6 cm

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