Journal d’une bedworkeuse

Journal d’une bedworkeuse – épisode 48

Mercredi 29 avril J’ai commis l’irréparable : dormi dans mon lit-bureau. Incapable de m’endormir hier soir, l’estomac retourné, j’ai migré vers minuit pour m’assoir dans mon espace de travail puis, progressivement, glisser sans m’en apercevoir vers le sommeil. J’étais donc déjà au bureau quand je me suis réveillée vers 5 h 30. Pris un petit-déjeuner léger avant 6 h. Transcrit … Lire la suite

Journal d’une bedworkeuse

Journal d’une bedworkeuse – épisode 47

Mardi 28 avril Nuit quasi normale : couchée après un film très psychologique avec Daniel Auteuil et Leïla Bekti, deux générations, deux sexes, deux acteurs intérieurs, magnifiques, je réussis à dormir jusqu’à 4 h et des brouettes. Encore une de ces nombreuses expressions françaises qui remplissent mon écriture : Pourquoi des brouettes ? Pourquoi pas des étagères ? Des draps ? … Lire la suite

Journal d’une bedworkeuse

Journal d’une bedworkeuse – épisode 45

Dimanche 26 avril 3 h 20. Pire qu’hier. Petit bémol : au bout de quelques heures, je parviens à me rendormir dans mon bed-desk quelques dizaines de minutes. Une aiguille dans une botte de foin. Deux ou trois brindilles arrachées à la meule monumentale que représente ma dette de sommeil, c’est déjà ça comme dit la chanson de Maxime Le Forestier ! … Lire la suite

Journal d’une bedworkeuse

Journal d’une bedworkeuse – épisode 43

Vendredi 24 avril Toute la matinée est dédiée à mon troisième album photo du confinement, partie 3 : annonce du déconfinement progressif pour le 11 mai. Il débute par les hésitations voire les cafouillages de l’exécutif concernant les formes qu’il pourrait prendre. Nous avons d’abord entendu que les personnes âgées de plus de 70 ans seraient confinées jusqu’en décembre prochain. Que … Lire la suite

Journal d’une bedworkeuse

Journal d’une bedworkeuse – épisode 42

Jeudi 23 avril L’intérêt de se coucher tard quand on dort peu, c’est qu’on se réveille à une heure presque normale : 6 h, accompagnée des premiers chants d’oiseaux et ce, bien avant les premières lueurs de l’aube. Je rédige le texte d’Aurélien, l’ouvrier de chez Peugeot. L’envoie à Patrice, lui indique en même temps que je ne parviens … Lire la suite